Le principe des machines de chiffrement consiste à générer une succession d'états non prédictibles (la suite chiffrante) la plus longue possible (c'est la crypto-période) à partir d'un état initial simple à décrire (la clef).
Chaque lettre d'entrée sera remplacée par une lettre en sortie laquelle sera déterminée par l'état courant du dispositif, état qui sera modifié après le chiffrement.

Imaginons un CESAR pour lequel le décalage sera modifié après chaque opération de chiffrement, et pour lequel le décalage appliqué à chaque étape sera déterminé par une fonction complexe indépendante de l'opération effectuée.

Ici, le décalage est aléatoire. La clé n'est donc pas constante. La clé peut donc s'exprimer par une fonction complexe.
Pour des raisons de simplicité, nous l'exprimerons sous forme d'un ensemble de solutions (+4;-2;+8;+1;-3;+6;-3).

Dans un CESAR 'classique', le décalage utilisé est constant. Ce décalage est le secret, la clef.
Elle vaut 1, ou plus exactement (+1,+1,+1,+1,+1,+1,+1).